Le château disparue sous mes yeux puis j'arriva a Saint-Mangouste dans le Hall avec Claire inconsciente et notre directrice.
Deux infirmiers c'était précipiter sur nous pour s'occuper de Claire il l'avais mis sur un brancard et nous avais emmener a l'étage des accidents matériel,
ils avaient installer Claire dans une chambre seule pour qu'elle puisse avoir du report.
je jeta un yeux dans la direction de Claire, elle était reliée a une perfusion de sang,
elle était inconsciente depuis plusieurs heures mais je savais que sont état n'était pas alarment pour l'instant.
Notre directrice Amber regarda l'heure avant de tourne sont regard vers Claire. Après l'avoir regarde un long moment
elle se retourna vers moi un petit sourire réconfortant se dessiner sur ces lèvres.

-Il va falloir que je parte Lièvine, je sais qu'elle est entre de bonnes mains et je repasserais bientot.

- Très bien madame, je vous informe si elle se réveille. dis-je pas très rassurer

-J'ai confiance en toi Lièvine et je sais qu'elle s'en sortiras, je te laisse dis-elle en accompagnant le geste a sa parole

Elle sortis de la chambre de Claire et je l'entendis descendre les escaliers, a mon avis elle devais être descendue pour aller parlée au infirmier sinon elle aurais transplaner.
Je me retourna vers Claire qui remua doucement la main avant de commencer a ouvrir les yeux faiblement.

J'ouvris les yeux difficilement. Ma vue flouter redevint a peu près normal. Je regarda ma jambe qui était recouverte d'un bandage.
Je ressentais une petite douleur mais rien de très grave comparé a ce que j'avais endurer.
Je tourna la tête et vit Lièvine assise sur une chaise a cotée de mon lit. Sur ma table de chevet il y avait également quelques dragées surprise.

- Qu'est-ce que tu fous la, Liè ? dit-je d'une voix faible.

- C'est moi qui t'es retrouver dans ce couloir, je dois donc m'assurer que tu aille mieux.

J'haussa les sourcils. Je tourna la tête a l'opposé d'elle et la posa sur le coussin.

- Je dois aussi te poser quelques questions. voyant que je ne répondais pas elle continua, est-ce que tu te rappelle de quoi que ce soit ?

Mon esprit retraça les moindres détails de la soirée et rien ne me revenait, rien, rien du tout.

- Je... j'avais fini mes devoirs, j'étais avec Perline a la salle commune on avait fini nos devoirs, et puis je suis partie de la salle commune, mais je sais plus ou je voulais aller...

- Est-ce que c'est possible que Perline t'est suivie et...

- Non, impossible répondit-je sèchement.

C'est vrai, pourquoi Perline aurait fait ça, cela n'avait aucun sens. Je réfléchis a qui d'autre pouvait me faire ça.

- Comment tu vas ? me questiona Lièvine.

- Qu'est ce que sa peut te foutre? Est-ce que tu m'as demander une seule fois ses 3 dernières semaines si j'allais bien ? J'aurais pu être complètement en dépression, tu me l'aurais pas demander. Alors...

Elle me coupa.

- C'est pas pareil...

- J'en veux pas de ta pitié moi, alors garde la pour toi.

- Qu'est ce que sa peut te foutre? Est-ce que tu m'as demander une seule fois ses 3 dernières semaines si j'allais bien ? J'aurais pu être complètement en dépression, tu me l'aurais pas demander. Alors...

Je la coupa

- C'est pas pareil

- J'en veux pas de ta pitié moi, alors garde la pour toi.

Je fit un sourire a Claire sans vraiment savoir quoi lui répondre, je ferma les yeux et me rendit compte qu'il faisais très chaud dans la chambre de Claire j'enleva mon pull et me fit une queue de cheval avec un jolie chouchou rouge. Je replongea mon regard dans celui de Claire.

-Tu ne sais pas ce que tu dit tu doit être fatiguer après ce qui vient de t'arriver.

-N'importe quoi

-Je vais te laisse Claire tu a besoin de repos je repasserais plus tard.

-J'ai pas besoin de toi, ta pas besoin de repasser. me dit-elle sèchement

-Tu voit lui dis-je  Tu ne c'est plus ce que tu dit.

Je me leva et rangea la chaise sous le bureau qui se trouvais a l'autre bout de la chambre. Je me tourna une nouvelle fois vers Claire qui était toujours aussi pale mais consciente. Je devais envoie un message a notre directrice mais je décida de m'y occuper un peu plus tard, après tout ça ne presser pas.
Je me dirigea vers la porte et resta quelques minutes sur le seuil de la porte puis partis.

j'entra dans la chambre et vit Claire allonger sur son lit. Elle était pâle, je ne l'avais jamais vu aussi blanche qu'a cet instant. J'accouru à son lit. Elle avait les yeux fermer, je m'assis à côter d'elle et je l'observais.
Environ 10 minutes plus tard, elle se réveilla. Elle tourna la tête vers moi et fronça les sourcils.

- Thomas ? Mais... Pourquoi t'es là ? Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Je suis venue te voir Claire, je voulais prendre de tes nouvelles, tous le monde est très inquiet pour toi.
- Je suppose que tu  aurais pas pu attendre que je revienne en cours pour me voir ?
- Cela fait des lustres que l'on ne s'est pas parlé, et tu me manque...
- Thomas, je...

je ne lui laissa pas le temps de finir et continua ma phrase.
- j'avais besoin de te voir, de te parler, et j'avais besoin de sentir ta présence qui me manquait un peu trop...
je respira un grand coup. Tout ce que je voulais annoncer à Claire depuis des mois je l'avais fait, et je me sentais soulager.

- J'avais besoin de te voir, de te parler, et j'avais besoin de sentir ta présence qui me manquait un peu trop...

Je n'eut même pas le temps de lui répondre qu'i m'embrassa. Non mais a quoi il jouait lui?
Je le repoussa.

- Non ! Non, Thomas je ne peux pas.

Il se retire de moi et s'assoit sur la chaise a côté de mon lit, il ne disait rien, regardant le vide.

- Je suis désolé... Mais c'est impossible.

- Pourquoi ? Parce que je suis pas a Serpentard c'est sa ? Putain mais Claire, qu'est-ce qu'il t'es arriver, elle est passer ou la fille qui était si douce, si gentille, si attentionné ? C'est pas la Claire qui est en face de moi qui me manque c'est celle que tu cache, que tu cache par ce masque, qui te rend froide, hautaine, distante, sec. Comment t'as pu changer comme sa ? Aussi vite, brutalement, qu'est-ce qu'il t'est arriver Claire ? Je vois même pas pourquoi je m'attarde sur toi alors que pour toi je suis rien, je t'aime si tu le savais a quel point, je pense a toi tout le temps et quand je te vois j'ai juste envie de te serrer dans mes bras. Mais quand je te vois maintenant, je me demande pourquoi je t'aime a ce point.

- Je suis désolé, Thomas.

- Je suis désolé, Thomas.
- C'est tout ? Tu as que ça a me répondre ? Juste un "je suis désolé ", rien de plus ?
Elle tourna la tête a la direction opposer de moi. J'étais triste, triste mais énerver. Je venais de lui faire un discours et tout ce qu'elle avait a me répondre c'était un désolé. Je la regardais, ces yeux était rouges comme si elle allait pleurer. je pris sa main dans la mienne et lui fit un sourire réconfortant.

- Si t'as besoins, je suis la pour toi.
- Mais moi j'ai pas besoins de toi. Je suis fatiguer Thomas, je voudrais dormir un peu. me dit-elle froidement.

ces dernières paroles me brisa le cœur. Je me leva, pris ma veste et ne lui dit même pas au revoir, je me retourna une dernière fois vers elle. Elle avait les yeux fermés, la voir dans cette état me fit un pincement au cœur. elle avait l'air si mal, si triste et elle ne voulait l'aide de personne. j'ouvrit la porte de sa chambre et quitta la pièce.

- Si t'as besoins, je suis la pour toi.

J'allais le remercier mais mon regard ce dirigea vers sa robe de sorcier ou son insigne de Gryffondor était cousue.
Je soupira. " Je suis la pour toi" cette phrase me rappela immédiatement la Miss Paix, Lizzie. Des paroles en l'air. Les gens sont la quand tu te sens bien, que tu est heureuse et dès que tu est triste, il disparaissent.

Étrangement, j'étais triste. Je savais pas pourquoi mais je sentais que j'avais les larmes aux yeux, il fallait pas que je pleure, de toute manière je n'étais pas amoureuse de lui. Je tourna ma tête vers Thomas et enleva sa main de la mienne.

- Mais moi j'ai pas besoins de toi. Je suis fatiguer Thomas, je voudrais dormir un peu.

Il ne dit rien. Il se leva juste et sortit de ma chambre. Je sentis une larme couler le long de ma joue, j'essuya celle-ci avec ma main droite. Le stress et la fatigue me mettait dans des états pas possible. Je ferma les yeux avant de m'endormir.

La rumeur courrait à Poudlard que Claire avait été blessée, la nuit dernière. La jambe entaillée, elle aurait perdu beaucoup de sang. Certes, la compagnie de Perline ne lui faisait pas beaucoup d'amis... Mais à ce point ? Etait-ce possible ? Je n'y croyais pas.
J'avais donc suivi Thomas, alias Messire-le-Bourreau-des-Coeurs-Matous, lorsqu'il s'était éclipsé du château. Il connaissait, apparemment, quelques passages secrets. Autant en profiter. Perline comprendrait que j'arrive en retard à notre rendez-vous. Après tout, elle est celle qui tentait de se rapprocher de Claire, qui voulait l'exploiter. Moi, je m'interrogeai juste. Une élève ne finit pas si profondément blessée sans raison. Soit elle s'était battue, soit on l'avait attaquée par derrière. Dans les deux cas, cela prouvait juste que Poudlard était tout sauf un endroit sûr pour elle. Et je voulais comprendre pourquoi. Il n'y avait pas de raison que l'endroit soit plus dangereux pour elle que pour d'autres. Elle n'avait rien fait de mal et souffrait assez comme ça. Qui pouvait être assez stupide pour tenter d'aggraver la situation ? Et pourquoi ?
Elle n'aurait sans doute aucune envie de me voir, mais qu'importe. Cette histoire m'intriguait. J'avais besoin de comprendre. Comment l'aider, sans cela ?
J'entrai donc à Sainte Mangouste où l'on me dirigea vers la salle n°18. Je toquais avant d'entrer. Un 'Non.' faible me parvenu. Je fis mine de ne pas l'avoir entendu et rentrai quand même. Claire était recroquevillée dans son lit, les yeux rouges, le teint terne. Je n'osai m'approcher. Elle avait peut-être une bonne raison de refuser que je rentre... A coup sûr, cet enfoiré de matou qu'était Thomas était responsable. J'y croyais pas.
-Bonjour, Claire. fis-je avec douceur.

Quelqu'un toqua a la porte. Je ne voulais plus de visite pour aujourd'hui.

- Non, dit-je d'une voix faible.

Si c'était Lièvine, Thomas ou des autres Gryffondor qui était venue me voir, hors de questions qu'ils restent ici, la  personne rentra quand même dans ma chambre. C'étais Kieran, décidément tout le monde était au courant a Poudlard, mais pourquoi il venait lui ? Je le connaissais a peine. Je savais qu'il était de Serdaigle et qu'ils s'appellait Kieran, c'est tout.

-Bonjour, Claire. fit-il d'une voix douce.

- Salut.

- Comment tu vas ? me dit-il en s'asseyant sur la chaise a coter de mon lit.

- Génial, je pète la forme tu vois. lui dit-je ironiquement.

Il sourit. Je tourna mon regard vers ma table de chevet, il y avait le paquet de dragées surprise que je n'avais pas ouvert et une chocogrenouille.

- Tiens, tu pourrais être utile pour une fois, tu me passe le paquet de dragées surprise ?

Il hésita un instant mais me le tendit quand même. J'ouvrit le paquet et en pris un. J'avais de la chance pour une fois, j'étais tomber sur un au gout de fraise. Je mangeait quelque dragées devant Kieran sans pour autant lui en proposer un seul.

- Salut.
- Comment tu vas ? fis-je en m'asseyant sur la chaise à côté de son lit.
- Génial, je pète la forme tu vois, répondit-elle ironiquement.

C'était une question débile. Mais la voyant ainsi, le teint maladivement pâle, j'ignorais que dire.
Un blanc s'installa.

- Tiens, tu pourrais être utile pour une fois, tu me passes le paquet de dragées surprise ?

D'ordinaire, j'aurais refusé pour l'embêter.
Mais aujourd'hui, je doute qu'une quelconque taquinerie allège son humeur.
Elle savoura sa dragée. Sans doute avait-elle eu de la chance pour celle-là. Tant mieux. C'était un petit détail qui, au moins, n'accentuait pas son sentiment de malchance.

- Claire... Tu ne te rappelles vraiment pas de ce qu'il s'est passé ? Ou tu ne veux pas en parler ?

- Claire... Tu ne te rappelles vraiment pas de ce qu'il s'est passé ? Ou tu ne veux pas en parler ?

- Non vraiment de rien. J'essaye depuis ce soir la de me souvenir, mais rien ne reviens. Tout ce dont je me souviens c'est que j'avais quitter la salle commune de Serpentard après l'heure limite. J'avais finis mes devoirs avec Perline et je suis partis pour aller je ne sais plus ou et après sa... plus rien.

Je pris le paquet de dragées surprise de ma main tremblante et essaya de le reposer sur ma table de chevet, mais je le fit tomber a coter et tout les dragées s'éparpillèrent sur le sol.

- Merde !
- C'est rien, Claire...

Je m'assis et posa ma tête contre le mur. Je replia ma jambe gauche vers moi et laissa mon autre jambe invalide tendue.

- Tu as mal?
- Comparé a hier soir, non, sa va.

- Tu n'as d'idée de qui pourrait être le coupable ?

- J'essaye de me souvenir du moindre détail, une voix, une ombre ou même une baguette, mais rien ne me reviens.

C'était horrible cette sensation d'oublis. C'est comme quand on veux chercher quelques chose dans sa chambre et des qu'on arrive dans la pièce on se souvient plus de ce qu'on voulait faire. Sauf que la c'etais pire.
Je sortis de mes pensée et regarda Kieran.

- Qui pourrait me détester autant pour me faire ça?