Je venais de me lever et j'avais une faim de loup. Après avoir pris un bain, je m'attachas les cheveux en chignon. Je mis mon uniforme et ma belle cravate que j'adorais tant car elle représente ma maison adorée. Je décidas ensuite de descendre dans la grande salle pour aller me chercher de la nourriture. A peine sortis de la salle commune que je sentais déjà les odeurs de la bonne nourriture qui régnais dans la grande salle depuis un long moment.
Arriver là bas je m'asseyais a la table de Serpentard, et il n'y avait pas de personnes de ma maison sauf quelque Poufsouffle et Gryffondor.
Je pris un verre de jus de citrouille et je buvais une gorgée. Je pris une pomme qui était devant moi et je croquas dedans.
Au loin je vis mon amis Gryffondor qui était en compagnie de son frère et de son petit copain, Lucas.
Quelque seconde plus tard, je me levais de table et me dirigeais vers elle pour la saluer.

- Salut Lièvine ! Comment vas-tu ?

Je m'assis à coté d'elle et salua ses amis même si je ne les apprécie pas trop. Sauf son frère que j'apprécié de plus en plus.

Après une nuit reposante je pris une douche et me maquilla avec un mascara noir très élégant j'enfilas mon uniforme de cours pour la journée, la couleur rouge et or faisais ressortir mes cheveux blond platine.
Je noua aussi un petit nœud rouge toujours pour rappelle la couleur de ma maison que je portais fièrement.
Affamé je descendis dans la grande salle rejoins peu après par mon frère et par Lucas.
Je pris un verre de Jus de citrouille et des cookie au chocolats, je venez de commence quand une voix derrière moi me dit

-Salut Lièvine ! Comment vas-tu ?

Je me retournas face a Claire, je fis un large sourire et lui repondis

- Salut ! Oui et toi ?

Cela faisait 2 mois que je ne l'avais pas vue car nos parents habitais trop loin pour qu'ont se vois durant les vacances.
Nous nous étions juste envoie quelques lettre par hiboux, Je savais qu'elle avais pris en option soin au créature magique comme moi.

Alors que j'étais plongée dans une passionnante lecture, adossée contre une étagère de la bibliothèque, Madame Fizwizbiz s'exclama :

- Mademoiselle Elven, cela fait près trois heures que vous êtes là. Bien que la littérature soit à mes yeux la plus exquise nourriture, elle n'est pas assez consistante pour une jeune fille de votre âge. Vous feriez mieux de rejoindre vos camarades à la Grande Salle...

Je n'en avais pas la moindre envie, tant l'ouvrage que je lisais été passionnant. Mais je savais pertinemment que Madame Fizwizbiz ne me laisserait plus venir le matin comme j'en avais l'habitude si elle devait chaque jour me faire le même reproche... Aussi, bien qu'il me semblait n'être rentrée dans ce lieu magnifique qu'une poignée de minutes auparavant, je me relevai et la remerciai de se soucier ainsi de l'élève que j'étais. Elle sourit, amusée, et me promit que sa porte me serait toujours ouverte dès que je sortirai de la Grande Salle. Ravie de l'apprendre, je sautillai d'allégresse et la remerciait une fois de plus, avant de lui adresser un signe de la main et de courir en direction de la Grande Salle.

A peine en franchis-je le seuil que je reconnu, à la table des Gryffondors, la douce silhouette de mon amie Lièvine, vers qui j'accourrais.

- Lièviiiine ! Comment vas-tu ? Bien dormi ?

Elle se retourna et vint me prendre dans ses bras.
Dès qu'elle me lâcha, je saluai tout le reste de la tablée. Si la plupart me répondirent, Claire m'offrit cependant un vent monumental, que je feins d'ignorer.

- Lizzie ! A merveille et toi ? Je suppose qu'il est inutile que je te demande si tu as bien dormi... Qu'as-tu lu, ce matin ?

- Ah ah, tu me connais si bien Lièvine !
Je lui adressai un clin d'oeil.
- J'ai trouvé un livre absolument passionnant... Je t'assure, je n'ai pas vu le temps passer tant il m'intéressait !

Elle soupira, comme désespérée.
- Lizzie, Lizzie, Lizzie. Tu as bien évidemment conscience que tu dis, à peu de chose près, la même chose chaque matin après avoir disparu du dortoir pendant les dernières heures de la nuit où les gens normaux dorment ?

Des rires s'élevèrent de toute la table, et prenant une mimique boudeuse, je rétorquai, le sourire aux lèvres :

- Oh, tu exagères Lièvine...

- Oh que non ! Je te l'assure ! Pas vrai Claire ?
Elle se retourna vers son amie de Serpentard et constata, étonnée, que celle-ci était partie.
- Où est-elle passée ?

- A vrai dire... Je n'ai pas l'impression qu'elle me porte dans son coeur... J'espère ne pas l'avoir faite fuir...
Me soufflais-je gênée, ayant toujours en travers de la gorge le froid regard qu'elle m'avait lancé.

- Mais non Lizzie, ce n'est pas ça...
Répliqua-t-elle pour me rassurer.

- Elle ne m'a jamais adressé la parole...
Murmurai-je.

D'autres voix se joignirent à la mienne. Elle ne semblait pas apprécier grand monde, à cette table... Quel dommage ! Elle n'avait pourtant pas l'air méchante, et loin s'en faut !

Lucas posa la main sur mon épaule et soupira.
- Tu sais, Lizzie, ce n'est pas ta faute... Pour elle, nous ne sommes que des Gryffondors, elle ne prend pas vraiment la peine de nous regarder... Sans Lièvine, elle ne m'aurait probablement jamais adressé la parole...

Le frère de Lièvine s'interposa.
- Je vous trouve injustes ! Elle est très gentille avec moi, toujours souriante et...

Amusée, je lui répondis :
- C'est tellement "étrange" que ce ne soit qu'avec toi !
Je lui fis un clin d'oeil, et ses joues s'empourprèrent. Tiens donc, la jolie Claire n'avait pas l'air de lui déplaire...
- Oh oh, il y a de l'amour dans l'air...
Dîmes Lièvine et moi d'une même voix. Nous échangeâmes un regard complice ; nous pensions, de toute évidence, à la même chose...
D'ailleurs, Lièvine fut la plus rapide et appela :
- Claire ?

Alors que j'étais aller me chercher un peu de jus de citrouille j'entendit l'appel de Lièvine je revint sur mes pas et je retournas à la table ou elle était assise, je regarda les personnes qui était la et j'aperçut que Lizzie était encore présente je lui adressa donc un petit sourire forcé.

-Tu m'as appelé Lièvine?

Lièvine se retourna et me dit :

- Oui je t'ai bien appelé, hum.. Tu connais Lizzie je pense?

- Oui je la connais, enfin juste de nom, je sais juste qu'elle adore lire c'est bien ça?

Je regarda le frère de Lièvine et lui fit un large sourire. Je pris un cookie qui était posé devant Lièvine et je repartis en direction du hall d'entrée.
En partant je me retournas et fit un signe d'au revoir à la table de mon amie.

Alors que je cherchais quelque chose à boire j'entendis des pas qui se rapprochais.
J'aperçut le frère de Lièvine et j'étais vraiment heureuse de le voir.
Alors qu'il allait dire quelque chose je le coupa et le questiona :

-Tu voulais quelque chose a boire? lui dis-je avec le sourire au coins de lèvres.

- Je viens chercher un verre de lait pour Lizzie. me dit-il en pointant du doigt la cruche remplis à rebord de lait.

Je lui tendit alors la cruche de lait et la remplis dans le verre pendant que le lait coulait dans la tasse, mon regard se tourna vers ses beaux yeux bleus.
A peine le temps de les regarder que j'entendais le lait qui débordait de la tasse et qui retombait par terre.

-Oh! Mince je suis vraiment désolé attend je vais nettoyer sa. dit-je d'un air désolé et gêné.

Je prit une serviette qui était posé sur la table d'a côté et essuyais ce qui avait déborder de la tasse.

-Bon, maintenant on va peut-être le ramener se lait, non?lui dis-je en souriant.

Et on repartis en direction de la table de Gryffondor.
Je pris le verre de lait et je m'approcha de Lizzie pour lui ramener. Quand tout d'un coup je renverse le verre de lait sur la tête de Lizzie.

-Oups, vraiment excuse moi Lizzie ma main a déraper, dis-je en me retenant de rire.

Alors que tout le monde me regarder d'un air étonner, Lizzie touchait ses cheveux blond et voyait qu'il était couvert de lait.

°C'est vraiment très drôle de la voir comme sa! °

Et la Lizzie se leva d'un seule coup et me dit :

Je rêvais. Ou plutôt cauchemardais. Ce n'était pas possible ! Non !
Comment avait-elle pu oser... Moi qui essayais de l'aider (à son insu, certes, mais de l'aider quand même) avec Thomas...
Je bouillonnai intérieurement, mais ne pouvais garder en moi cette fureur qui menaçait d'éclatait. Et d'ailleurs, je ne pu retenir un cri.

- CLAIRE ! m'écriai-je, hors de moi, en me levant d'un bond.

- Oui ? Oh, ma pauvre chérie, ne te met pas dans cet état. La chevelure lactée te va à merveille... susurra-t-elle.

- Claire... grondai-je.

- Enfin ! Ne t'en fais pas, vraiment, tu n'es pas amochée... Pour la bonne est simple raison que tu ne peux être pire.
Elle se tut un instant, et m'examina de la tête au pied, avant de rire aux éclats.
Oh non, vraiment pas ! Alors cesse de te plaindre !

Ma main partit toute seule. Je ne pus vraiment pas l'en empêcher.
Elle se figea soudain, souleva la main qui venait de laisser sur sa joue une trace écarlate.

-LIZZIE ! Que viens-tu de faire ? Porter ta main impure à la joue d'une Collins ? Comment as-tu osé ! Tu vas me le payer !

Elle sortit sa baguette, la tendant dans ma direction, attendant mon premier pas pour laisser fuser son premier sort. Aussi, dès que je sortis la mienne de ma botte, un éclair de lumière s'échappa de sa baguette tandis que ses lèvres prononçaient le sortilège...

-EXPELLIARMUS ! criai-je

La lumière rouge sortit en direction de Lizzie qui se protega avec un protego.

-Ahah tu n'ose même pas te battre tu as trop peur, tu es trop peureuse !

- C'est ce que tu crois! répliqua Lizzie

Et d'un seul coup Lizzie cria :

-STUPEFIX !

Alors que cette dispute dégénéraient de plus en plus les sorts continuaient a être envoyé de la baguette de Claire et Lizzie.
Claire reçut ensuite le sort de Lizzie dans la poitrine et fut expulsé a l'autre bout de la salle contre le mur opposé.
Lièvine regardais Claire de l'autre côté de la salle vraiment étonner.

Oh non... Je l'ai sans doute blessée... Qu'est-ce qui m'a prit ?
Pour deux mots et trois gouttes de lait... Non, comment avais-je pu faire une chose pareille ?

Courant vers Claire, j'agitais ma baguette en lançant un Enervatum, inquiète. J'espérai ne pas l'avoir blessée... Je ne m'attendais pas à ce qu'une telle puissance magique sorte de ma baguette. Aussi m'élançai-je vers elle...

Mais ma course fut subitement interrompue, car sitôt récupéra-t-elle l'usage de ses membres, elle agita sa baguette en s'exclamant :

- SECTUMSEMPRA ! Ahah, tu croyais m'échapper ? Tu es puissante mais... Tu avais des scrupules, et cela semble suffire à inverser la situation...

Lamentablement impuissante, je gisais à présent au sol, sans pouvoir répondre à ses mots pleins de haine. Je sentais un liquide chaud couler sur mon corps. Et, pour avoir lu la biographie d'un ancien élève de Poudlard, Harry Potter, su que ce liquide n'était autre que mon sang qui me quittait.
Je me sentais si faible...

Mais bientôt, bien que je n'en voie pas le visage, quelqu'un s'exclama :
- CLAIRE ! Eloigne-toi d'elle, immédiatement...

Elle ne bougeait pas et me toisait, malveillante. De son pied, elle frappa mes côtes.

- CLAIRE ! J'ai dit immédiatement !

-Claire ! Je t'ai dis de partir et de lâché cette baguette !

Je m'approcha de Lizzie qui gisait sur le sol.

-Appeler une infirmière au plus vite! s'écriait-je.

Je sortis ma baguette magique et prononça le sort :

-Vulnera Sanentur..

°S'il vous plait faites que sa marche°

Lizzie était allongé et ces paupières s'ouvrait peu à peu. L’infirmière l'emmena donc a l'infirmerie pour la soigner.

Je me retournas vers Claire et la regarda et lui dit :

-Non mais qu'est-ce qui t'as pris ?criait-je sur Claire, tu vas tout m'expliquer immédiatemen, et les autres personnes qui regardent je vous ordonne de retourner dans vos dortoirs.

-Mais c'est elle qui a commencé..

Après que Claire m'est tout expliquer je décida d'attendre le lendemain pour voir si la santé de Lizzie allait bien et je décida de voire sa version des faits pour voir qui je vais punir.

-Bon, retourne dans ton dortoir et tache de ne pas te faire remarqué.

Puis Claire retourna dans son dortoir.

Lorsque j'ouvris les yeux, un puissant mal de tête me saisit, et j'en tremblais de douleur. Je gardais donc un instant mes paupières closes. Cela sembla alerter quelqu'un, car j'entendis des pas s'approcher de moi. Rassemblant les forces qui me restaient, j'essayai de me relever, mais compris aussitôt qu'il me faudrait encore attendre.

Une voix, que j'identifiai aussitôt comme celle de Lièvine, résonna dans la pièce.
- Madame Addams ! Elle s'est réveillée ! Lizzie, comment te sens-tu ?

- Bien, mentis-je, en réessayant de me redresser sur un coude. Une grimace de douleur m'échappa, et je vis que Lièvine l'avait remarqué. Elle ne le releva pas pour autant, ce dont je lui fus reconnaissante.

- Tu nous a fait peur, tu sais ? Tout ce sang... Enfin, je suis ravie que tu ailles mieux. Au fait, Madame Addams voulait te parler...

J'entendis des talons s'approcher du lit sur lequel j'étais allongée.
°Aïe, aïe, aïe. Les ennuis commencent...° songeai-je.

- Mademoiselle Elven ? Enfin ! J'espère que vous vous sentez mieux.
J'ai des questions à vous poser quant à ce qui s'est passé hier...

Madame Pomfresh arriva, furieuse.
- Quand comprendrez-vous que mes blessés et malades ont besoin de repos ? Sortez d'ici, je vous prie !

- Bonjour Pompom, sourit Madame Addams.

- Ah, Sophia, c'est toi ? Excuse-moi, je ne t'ai pas vue entrer.

- Pas de soucis ! J'ai simplement quelques questions à poser à Mademoiselle Elven et...

Madame Pomfresh l'interrompit.
- Ah non non non ! Il faut respecter le repos des blessés !
Pour ce qui est de cet interrogatoire... Peux-tu attendre qu'elle se sente mieux ?

- Mais elle semble aller mieux, déjà, non ? soupira Madame Addams.

Je parvins enfin à me redresser et sourit à mon professeur.
- Bien sûr, madame, je me sens mieux.

Madame Pomfresh me fusilla du regard.
- Pas de mouvements brusques ! Oh la la...

- Ne vous en faites pas, Madame, la rassurai-je. A vrai dire, j'avais envie de retrouver mes amies et amis, et ce lit d'hôpital me semblait être une véritable prison.
Vous vouliez me parlez, Madame Addams ?

- En effet, Mademoiselle Elven. Mais j'attendrais que vous soyez remise...

Je rejetai la couette sur le côté et posai les pieds à terre. Après un ou deux pas maladroit, je réussis à m'approcher d'elle et lui répondis :
-Je le suis, Madame.

Madame Pomfresh grimaça.

- Bon. Parfait. Dans ce cas, veuillez me suivre dans mon bureau et...

Lièvine la coupa.
- Madame, peut-être Lizzie ferait-elle bien de manger quelque chose, avant de venir vous voir ?

- Vous avez sans doute raison, Mademoiselle Brader. Bon. Dès que vous aurez mangé, venez à la table des professeurs, Mademoiselle Elven.

Lièvine passa son bras autour de mon épaule, pour m'aider à marcher, et nous nous rendîmes de nouveau à la Grande Salle.
A peine nous y mîmes le pied que je sentis un nombre incalculable de regards peser sur moi...

Je l'aida a marche jusqu'à la grande salle, arrivé la bas des dizaine de regard se dirigèrent vers nous.Je continue cependant ma marche toujours en soutenant Lizzie jusqu'à la table des Gryffondor.Je pris un pichet de Jus de citrouille et je servis deux grand verre un pour mon amie et un pour moi, je pris quelque cookie et des pommes pour nous deux car Lizzie avais besoin de forces cette bataille avais était monstrueuse. Cependant je n'en voulais pas vraiment a Claire c'était mon amie et elle avais un fort caractère tout comme Lizzie....
J'aida Lizzie a s'assoire a notre table puis je lui tendis son verre et son assiette. Quelque minute après mon frère et Lucas nous ont rejoins. J'embrassa tendrement Lucas et je saluât mon frère.

-Bon quand va tu aborde Claire ? lui dis-je

-Quand j'en aurais envie, laisse moi un peu

Je lui fis un petit sourire moqueur, je savais qu'il était timide avec les filles. Je croqua dans ma pomme avec appétit, puis je jeta un petit regard a Lizzie.

-Tu est sur que tu va bien ? lui murmurais-je inquiète

- Ne t'inquiète pas pour moi, Lièvine. Je vais bien. C'est juste que... Je ne m'y attendais pas...
Je savais que tu lui faisais confiance, qu'elle était ton amie, et c'est pourquoi je lui faisais confiance malgré la haine qu'elle semblait me vouer... Je ne sais pas vraiment ce que j'ai fait pour la mériter. Un verre de lait, c'est une chose ; mais un Sectumsempra...
Je frissonnai à cette idée. Non, vraiment, je ne comprenais pas.

- Mais Lizzie... commença Lucas. Pourquoi as-tu couru vers elle ? Enfin, je veux dire, à quoi t'attendais-tu ?

- Je pense que là n'est pas la bonne question, Lucas... répondis-je. Ce que je n'ai pas compris, c'est ce Stupefix qui a jaillit de ma baguette. Je sais que ce sont mes lèvres qui l'ont prononcées mais... Je n'ai jamais envisagé lui lancer un tel sortilège...

- Qu'est-ce... Qu'est-ce que tu veux dire ? m'interrogea Lièvine.

- J'avoue que cela m'a étonné de te voir l'attaquer, murmura Thomas. Ça ne te ressemblait tellement pas...

Je soupirai.
- C'est très confus. J'ai eu l'impression d'être traversée par une vague magie très intense, et un tourbillon de haine plus puissant encore... C'était si... étrange ! Et horrible... Quand je l'ai vue au sol, je n'en croyais pas mes yeux... Ça ne pouvait être de mon fait...

- Tu sais Lizzie, me coupa Lièvine, je trouve ça bien plus inquiétant que si tu avais eu un mouvement d'humeur. Enfin, après ce qu'elle t'avait dit, j'aurais presque pu le comprendre...

- Non, soufflai-je. Je n'aurais pas pu l'attaquer. Jamais. Me défendre de ses attaques, oui ; mais l'attaquer... Et si elle avait été blessée... L'est-elle, d'ailleurs ? Bordel...
J'en avais les larmes aux yeux.
Qu'est-ce qui m'a pris ?

Alors que j'étais dans le dortoir encore sauvagement énervé contre Lizzie je ne pouvait cesser de penser tout de même si elle allait bien.
Après avoir longuement réfléchis a si je devais aller à la grande salle je me décida d'y aller, j'avais peur du regard des autres alors, je me suis dit que peut importe de toute manière c'est elle qui avait commencé a me gifler.
Je posa ma baguette sur mon lit et me rendis devant les portes de la grande salle.

°Et si Lièvine ne veut plus me parler? Et si ils me rejettaient a cause de ce qui c'est passer hier?°

Je pris une grande inspiration et j'entra dans la salle et me dirigeas directement vers la table des Serpentard. A la table des Gryffondor je pouvais apercevoir Lizzie qui parlait avec Lièvine.

°Au moins je ne l'ai pas tué, c'est un bon point°

Je me prit un verre de jus de citrouille et pendant que je l'avalais je repensais a ce qui c'était passé hier soir. Le corps de Lizzie qui gisait sur le sol, le sort stupéfix qui m'as propulsé contre le mur. Mais surtout le sang qui coulait du corps de Lizzie.
Quand soudain, une voix interrompit mes pensées et qui criait :

- Claire !

Je vis Claire arrive dans la grande salle, elle se dirigea directement vers sa table mais j'avais envie de lui parle

-Claire ! lui criais-je

Je lui fis un large sourire et je me leva la rejoindre, je vis tous de suite quelle était embarrassé par rapport a hier...

-Ne t'inquiète pas je ne t'en veux pas et je pense que Lizzie non plus lui dis-je

Après tout Lizzie l'avais giflé pour du lait sur les cheveux ce n'était quand même pas si grave...
Puis je me rappela ma discussion d'hier ! Il fallait absolument qu'elle parle a mon frère

-Franchement Claire, va parle a mon frère lui dis-je gentiment en la taquinant un peu

Elle était tout a fais le style de Thomas et puis elle ne me déplairais pas en belle soeur ! On était meilleure amie depuis longtemps sa ne changeras rien me dime a moi même. Il fallait absolument qu'il sois ensemble en plus il craque tout les deux l'un pour l'autre...

Le professeur Derwant traversa le couloir central de la Grande Salle sous les quelques regards interrogateurs de certains élèves. Il y en avait une qui n'avait pas été discrete et la professeur avait tout entendu.

- Eh Héloïse ! Tu sais qui c'est celle là ? demanda tout haut la jeune Claire
- C'est Madame Derwant, la professeur de Métamorphose. Tu ne l'avait jamais vu?
- Claire fit non de la tête.
- Elle fait cours au premier étage. Est-ce que tu vas assister à ses cours?
- Je n'en sais rien, et toi?
- Moi non plus !

Madame Derwant fit comme ci de rien n'était avançait toujours et se plaça sur un siège de la table des professeur. Elle prit à manger un peu de poulet, de frites, de carottes, de petits pois, elle buvait un peu d'eau dans un verre à pied doré et en dessert une mousse vanille/chocolat. Elle s'essuya les lèvres avec une serviette rouge et or. Elle regardait les gestes et écoutait les paroles des élèves qui eux aussi mangeaient ou étudiaient, discutaient, apprenaient...

Le professeur avait hâte de faire cours avec certains de ces élèves au premier étage, mais plus particulièrement avec les Serpentards et les Serdaigles. Certess quelques Gryffondor ou Poufsouffles l'intéressée mais elle était plus attirée par les Serpentards et les Serdaigles. Soudain elle eu une belle pensée en apercevant une petite dispute entre fille, une Gryffondor et une Serpentard, elle se disait avec un grand sourire au lèvres :

° Il y a 5 ans on se disputait pour les garçons, alors pour quel sujet sera cette dispute?°

La jeune femme se leva et eu la réponse en écoutant le dialogue.

Lorsque je vit Lièvine j'étais vraiment heureuse qu'elle ne m'en veuille pas, et doublement heureuse quand elle m'a dit que Lizzie peut-être pas non plus.
Je salua Lièvine et lui dit :

-Et pour ton frère je ne sais pas, je suis pas le genre de fille a aller chercher les mecs, tu sais bien. J'suis pas très doué pour sa a vrai dire. Et je vais pas lui demander ou lui parler devant Lucas, et Lizzie non plus.. dit-je à Lièvine.

Elle me sourit, d'un air sournois et retourna a la table des Gryffondors, parla a son frère, qui me regarda, à ce moment là je tournas la tête dans une autre direction pour faire comme si de rien n'était.

°Qu'est-ce qu'elle a encore préparé celle ci°

Et d'un seul coup je sentis un tapotement sur mon épaule, je me retournas et vit :

Lizzie. Elle semblait encore bouleversée, et Claire n'osa lui demander pourquoi. Craignant sans doute que la jeune Gryffondor ne lui réponde qu'elle était la mieux placée pour le savoir...

Mais Lizzie prit la main de celle qui avait tenté de la tuer la veille, et murmura :
- Claire, il faut qu'on parle... C'est important.

Son interlocutrice hocha la tête.

- Il faut que je sache... Comment t'es tu sentie, lorsque tu m'as lancé ce sortilège, hier ?

La Serpentard parut prise au dépourvu. Elle pencha la tête sur le côté, ne sachant sans doute pas comment répondre à une telle question...
- Mmm. Lizzie, je crois que je vois de quoi tu parles. Mais je pense qu'il vaut mieux ne pas en parler ici, on pourrait nous entendre... Tu me suis ?

Lizzie sembla hésitante. Ses yeux reflétaient sa peur. Claire voyait-elle vraiment de quoi elle voulait parler, ou voulait-elle simplement l'éloigner de spectateurs pour achever la tâche qu'elle avait commencé hier ? Non, cette seconde option lui paraissait inimaginable. Aussi suivit-elle Claire hors de la Grande Salle...