Obscur art millénaire et intemporel, science à l’origine de l'essence même des temps, Moi le professeur Lewis vous initiera à ces illustres pratiques d’antan!



Je marchais de long en large, dans la salle circulaire, qui m'avait été allouée. Elle se situait dans l'une des plus haute tour du château et on y accédait par une longue échelle, après avoir monte l'échelle on accède dans la une petit pièce ronde remplis de poufs, de fauteuils, de tentures pourpre au dessin étrange.

°Je vais y arriver, si j'ai pu survivre au bizarreries du département des mystères, pourquoi ne réussirai-je pas à calmer une bande d'adolescents, qu'en plus j'ai le droit de punir !°

j'étouffais un cri de douleur,je venais en effet de me cogner sur un de ces affreux lustres tombants que ma prédécesseur, Sibylle Trelawney affectionnait tant, mais qu'importe, les élèves seront là d'ici cinq minute, j'avais encore le temps de me remettre de ma bosse, car les bougres ne seraient sûrement pas en avance!

Je pris une bouffée d'air frais pour me donner du courage, ce n'était vraiment pas le moment de perdre mes moyens, l'essentiel de mon cours m'échappai...
C'est alors qu'ils arrivèrent
Une quinzaine de silhouette avec des écusson vert, rouge,jaune et bleu franchit la trappe, seul accès de la salle

-Bienvenue, Bienvenue!, leur dis je
obscure essence des temps a l'origine d'antan, non non ! non! intemporalité de l'art illustrez, euh ce n'est pas ce n'est pas ce que je voulais dire... Bon ! Je suis Le professeur de divination, Lewis Melopaie, je serais votre professeur de divination pendant plusieurs années sauf si je suis renvoyé ou si je me blesse très gravement et que je suis dans l'incapacité de faire mes cours

Mes moyens m’échappaient définitivement...

- Avez vous pris vos livres Décrypter la toile du passé d'Amy Sterious ? Si oui veuillez ouvrir la page d'introduction même si je vous en est prépare une moi même je préfère que vous lisiez la sienne, y a t il un ou une volontaire pour la lecture ?

Levant timidement la main, j'attendis que le professeur Lewis m'interroge.

- Oui, Mademoiselle...?

- Elven, Professeur. Je m'appelle Lizzie Elven.

- Et bien, Mademoiselle Elven, nous vous écoutons.

- Monsieur, j'ai déjà lu cette introduction... Comme tout le reste du livre d'ailleurs... Et je voulais savoir si vous pouviez nous partager l'introduction que vous avez préparé, qui présente sans doute un autre point de vue, ce qui pourrait être très intéressant et...

Il m'arrêta d'un revers de la main.

- Je suis ravi de voir que cette matière vous plaît et que vous y avez consacré de votre temps ; cependant, je ne crois pas très à propos de votre part de me faire une suggestion allant à l'encontre de mes dires précédents.

Je vis bien qu'il été agité et, coupable, me souvins tout à coup que c'était le premier cours que le Professeur Lewis donnait à Poudlard, et que cela ne devait pas être une tâche aisée. Aussi rougis-je, très gênée, et m'excusai-je immédiatement.

- Je suis navrée, Professeur, si cela ne vous a pas paru pertinent... Loin de moi était l'idée de remettre votre autorité en question, je me demandais simplement s'il était possible que vous nous donniez votre point de vue quant à la divination...

Il sembla prendre conscience de mon malaise et sembla presque soulagé. Sans nul doute, il craignait que je ne gâche son premier cours... Aussi me rassura-t-il dès qu'il fut sûr que telle n'avait jamais été mon intention.

- Ne vous inquiétez pas, Mademoiselle Elven. Je comprends tout à fait et serais ravi enchanté de vous donner mon avis, s'il intéresse vos camarades autant que vous, une prochaine fois. A présent, voulez-vous entreprendre la lecture de cette introduction ?

- Bien sûr, Professeur.
Rejetant ma blonde crinière sur mon épaule gauche pour qu'elle ne me gêne pas lors de la-dite lecture, je posai mon index sur la page 3 de notre manuel et ouvris les lèvres pour la commencer.

Mais quelqu'un me coupa dans mon élan, et avant même que je ne puisse lire les premiers mots, s'exclama :

Monsieur, je ne voudrai pas être impolie mais il me semble que Lizzie a raison. Votre introduction sera surement bien plus riche et plus compréhensible que celle de notre livre. Si vous y tenez réellement professeur, si cela ne vous dérange point, voudriez bien nous dire pourquoi vous ne voulez pas lire votre présentation? Je ne veux pas que vous soyez ridiculiser mais cela, ne m'offusque pas ce mot est un beau fort, mais me dérange un peu puisque nous sommes plusieurs à avoir lu le livre et...
- Mlle. Veuillez me donner votre nom, s'il vous plaît.
- Mlle Volkov, Professeur.
- Mlle, vous viendrez me voir à la fin du cours j'ai un petit quelque chose à vous annoncer.

Emmeline savait qu'elle n'aurai jamais du insister sur le sujet car il avait été clair avec Lizzie, mais cela avait dérangeait l'élève. Surtout qu'elle n'aimait pas vraiment cette matière.

- Je voulais juste donner mon opinion, Professeur.
- Et bien vous devriez laisser Mlle Elven lire l'introduction, maintenant que votre opinion a été donné. D'accord ? Bien reprenez depuis le début Mlle Elven.
- Oui, Professeur.

La lecture reprit de plus belle, mais la jeune fille qui n'écoutait plus, semblait offusquée. Elle regardait son livre et pensait à d'autres choses que la divination. Pendant ce temps...

Je m'était inscrite en divination parceque les autres cours me plaisais encore moin que lui,le professeur avait du mal avec les élève et sa se voyais....

Je n'avais aucune envie de suivre le cours je me suis assise a une table plutôt éloignée des autre pour être tranquille, je venez d'ouvrir le livre et la première page ne me donner pas envie. Je feuilleta plusieurs page jusqu'à trouvée l'explication des symbole dans les tasses de thé ça c'était intéressant !
Je lisais presque tout les symbole, je trouvée sa plutôt amusant...

Personne ne me regardais dans mon coin j'était bien contente, l'heure aller passée rapidement. Jusqu'au moment ou Monsieur Lewis dit :

-Quelqu'un a quelque chose a ajouter a ce que vient de lire mademoiselle Elven ?

Il était timide sa se voyait, personne ne levais la main au début jusqu'à que

Un pétard n'explose dans la salle, la remplissant d'une âcre fumée malodorante
Ayant moi aussi fait le pitre à l'école, je savais exactement de quoi il s'agissait , mais aussi comment y remédier, une bonne méthode moldue, ouvrir les fenêtres, utiliser du désodorisant que j ai fait apparaître et me préparer à passer un sermon au fauteur de trouble

-QUI A FAIT CELA?

Le rouge me montait sur le visage, les élèves sentent lorsque les professeurs ont des difficultés, mais sont ils à ce point cruels pour les exploiter
Une voix suraiguë retentit alors :

-Vous êtes professeurs de divination non? me toisa un serpentard, vous auriez pu le deviner quand même !

Une de ses collègues , visiblement sa sœur ajouta insolemment :

-Pauvre monsieur Melopaie, le pétard lui aura t'il brisé ses rêves de ritournelles?
Elle finit sa phrase par un méprisable rictus

S'en était trop, j'interrogeai la classe pour savoir qui était l'auteur du méfait. On me désigna sans surprise le garçon. Je pris une décision péremptoire et leur ordonnèrent de sortir du cours avec pour obligation d'en parler à leur directeur de maison.

Le cours reprit calmement et je pus enfin leur expliquer ce qu'était divination... Une telle insubordination me répugne. Pour moi endosser le titre de professeur avait quelque chose de noble et c'est toujours le cas, mais le coeur y est beaucoup moins.

Mes deux camarades de Serpentard jeté dehors je me retournai vers cet étrange professeur de divination. Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai choisis cette matière, elle est d'un ennuie!
Je regardais M. Lewis parler de tout et surtout de n'importe quoi, je ne savais même pas de quoi il parler et ça ne m’intéressais pas, je posais donc mon front sur la table et me cognait plusieurs fois la tête.

°Pitié que ça s'arrête!°

Je finis par arrêter de me cogner mais je ferma les yeux. Je n'entendais plus rien, je pensais encore à Eléa... Cette situation été insuportable, elle arrivais a faire de nouvelle rencontre mais moi pas, j'avais l'impression de faire fuir tout le monde. A bien y réfléchir ils devaient me détester autant qu'ils m'admiraient et me jalousaient....
Je fini par m'endormir.
Un serpent qui crachais un serpent de sa bouche...Eléa...

-Hum Hum.

Je me réveillais et releva ma tête. M. Lewis me regardait les bras croisé et ses sourcils froncés. Je me redressai et lui fit face sans crainte puis lui souris.

-Il y a un problème, Monsieur?

Pauvre professeur Melopaie. Enseigner en boucle le même programme, chaque année, m'a toujours paru être une tâche ingrate. Il faut dire qu'en réalité, ce qui peut tout changer, c'est l'attitude des élèves. Pour le meilleur... ou le pire. Ici, de toute évidence, la majorité avait décidé de lui mener la vie dure, et ce dès le premier cours. Certes, son refus de donner un point de vue personnel sur la question me décevait.
Mais tout de même...
C'est triste.

Je fus tirée de mes réflexions par un changement dans l'intonation (plutôt monotone) de notre enseignant. Il venait de réveiller Perline.
Perline... Cette fille semblait avoir tout pour elle. Beauté, intelligence... Mais elle n'osait montrer son coeur à personne. Elle était hautaine, froide, méprisante. C'était bien dommage. Quelque chose en moi me soufflait qu'elle était extraordinaire, mais qu'elle ne pouvait se permettre de se montrer telle qu'elle l'était si elle voulait épouser l'image exigeante que son profil de Serpentard lui imposait. Elle devait avoir bon fond pourtant. Ces derniers temps, j'avais cependant remarqué qu'elle paraissait déprimée. Plus dédaigneuse que d'ordinaire, certes ; mais aussi... vide. Son regard était terne. J'ignorais pourquoi. J'aurais aimé l'aider, mais comment approcher une fille rejetant tant les Gryffondor ?
Quand elle fut tirée de son sommeil, sa voix était inexpressive. Sa douleur devait être plus profonde que les apparences ne le suggéraient.
Le professeur ne semblait pas comprendre et commença à lui faire la morale. Il hurlait. D'un côté, je pouvais le comprendre, il craquait, nous avions été insupportables. Mais en même temps... Parfois, j'aimerais tant que les gens ouvrent les yeux. Il souffrait, mais elle aussi. Il n'avait pas à passer sa colère sur elle. Ça me révoltait.
- Monsieur. Reprenons le cours, voulez-vous ?
Il se retourna, interloqué.
- Qui a parlé ?
Je levais la main, exaspérée.
- Moi.
- Melle Elven, vous viendrez me voir...
N'y tenant plus, je le coupais.
- ...A la fin de l'heure, dans votre bureau, et j'obtiendrai sans doute quelque punition administrative. Soit. Mais laissez Perline en paix.

- ...A la fin de l'heure, dans votre bureau, et j'obtiendrai sans doute quelque punition administrative. Soit. Mais laissez Perline en paix.

-T'es mignonne, mais tu ferais mieux de te taire. Je sais me dérouiller seule.

Autant vous dire que ça l'a coupé net. Son élan de volonté de vouloir m'aider semblait être retombé d'un seul coup. C'était bien drôle.

-Je...voulais simplement écouter le cours...

-Quel cours?

-...Merci de me couper, et je voulais donc juste écouter le cours mais je voulais lui dire de te laisser dormir en paix comme ça tu ne nous embêterais pas.

Je lui fis un beau sourire.

-Je crois me répéter mais, quel cours? Tu vois un cours à écouter ici? Si tu considère ça, dis-je en balançant ma tête vers M. Lewis, comme un professeur c'est que vous les Gryffondors êtes plus naïfs que ce que j'aurais crus.

-Hé! Comment tu ose dire ça! Hurla un élève de Gryffondor.

Je me retournais vers M. Lewis

-Inutile de me renvoyer de "cours", je m'en vais par moi même.

Après quoi je ramassa mes affaires, fis un dernier sourire à Lewis et commença à me diriger vers la sortie Lorsque ce dernier m'interpella.

-Miss Lanoe, je vous ordonne de rester ici et de présentez vos  excuses à Miss Elven.

-Ha!

Je regardais Lizzie et rigola, genre j'allais m'excuser. Lizzie ouvrit la bouche avant moi.

Bam. Je savais qu'elle n'apprécierait pas de savoir que je voulais l'aider. En fin.. Je le 'savais'. Une part de moi était suffisamment naïve pour espérer le contraire. Elle ne devait pas apprendre la réalité. Penser que d'autres se faisaient du soucis pour elle, avaient pitié, l'horripilerait plus que tout. Alors, même si je n'aimais pas ça, j'ai menti. Prétendu être seulement intéressée par le cours. Qui me croirait ? Qu'importe. Oui, vraiment, qu'importe après tout. Je trouverais le moyen de lui venir en aide, sans lui forcer la main pour qu'elle ne se vexe pas. La fierté d'une Serpentard aussi hautaine que Perline devait être maniée avec précaution. Pour l'aider, il fallait d'abord lui prouver qu'elle pouvait être respectée et aimée telle qu'elle l'était. Et je parviendrai à le faire.
- Des excuses dépourvues de sincérité ne valent rien. Et il faudrait être stupide pour croire que Perline regrette ses mots. Mais ne vous en faites pas, professeur. Oubliez tout ça.
Je lançai un regard vers elle. Non, vraiment, il était peu aisé d'aider quelqu'un et de prendre sa défense quand on n'est récoltait que le rire moqueur et méprisant. Ne pas se laisser abattre. Garder courage. Relever le défi. Je savais que je pouvais y parvenir. Je l'aiderai à retrouver le sourire. A la faire rire autrement qu'aux dépends des autres. Et sans même que je ne m'en rende compte, un sourire se peignit sur mes propres lèvres.

- Des excuses dépourvues de sincérité ne valent rien. Et il faudrait être stupide pour croire que Perline regrette ses mots. Mais ne vous en faites pas, professeur. Oubliez tout ça.

Pouah!  "il faudrait être stupide pour croire que Perline regrette ses mots." Elle pensait me connaitre? Mais qu'est-ce que je raconte moi, elle a raison, je ne regrette rien. Pourquoi je regretterais? Ce que j'avais dis, je le penser sincèrement, comme la majorité des choses que je balançais aux autres.
Je mis mes cheveux d'un seul côté, j'avais donc bien acquis la réputation que j'exigeais. J'eu envie de sourire mais bizarrement je n'ai pas réussis, quelque chose m'en empêchais. Je sortis donc de le salle de classe, le visage neutre et le regard vide.
J'hésitais à retourner au prochain cours de divination, j'avais tout de même mes BUSE à la fin de l'année. Il fallait que je gère en tout. Même si j’obtiendrais sans doute un Piètre. Tout compte fait j'y retournerais... Juste pour le coup de provocation. Je regardai mon emploie du temps et souris à la vue du cours suivant: Potion. Je sortis donc vers le parc en attendant avec impatience la sonnerie.